avec sa prose féroce Jacky Schwartzmann, nous propose un nouveau roman aussi original que débridé dans lequel il évoque la question de la radicalisation en politique, mettant en scène de savoureux personnages.
L’écrivain franco-algérien Yahia Belaskri compose un chant d’amour au peuple arménien. Son regard d’un profond humanisme suit les dix-huit mois d’exode d’une poignée de survivants des massacres de Cilicie au Sud de l’ancien Empire ottoman.
À travers le regard d’une adolescente en souffrance, Florence Seyvos dresse le portrait d’un beau-père aimant et toxique, metteur en scène d’une vie rêvée qu’il impose aux autres, au risque de les entraîner dans sa chute. Prix du Livre Inter 2025.
Souvenirs d’un éditeur et tableau impitoyable de la société du livre, Tiré de faits irréels est une réflexion jubilatoire sur la littérature, sa grandeur et sa décadence.
Clamser à Tataouine, c’est avant tout la trajectoire d’un personnage en marge de la société et qui est bien décidé à le rester. Dans ce premier roman signé Raphaël Quenard, on est embarqué par la gouaille singulière d’un narrateur sans cesse dans la provocation.
Une très belle plume que celle de de Nathalie Sauvagnac. On la retrouve avec un roman vif, sec, imagé, dans lequel on passe sans cesse de la poésie la plus lumineuse à la noirceur la plus sombre.
Abandonnant ses héros récurrents, Michael Connelly nous présente l’inspecteur Stilwell, représentant du shérif du comté de Los Angeles sur l’île de Santa Catalina.
Deux ans après Okavango, Caryl Férey nous embarque pour les îles Féroé, dont les paysages magnifiques servent fois de décor à Grindadráp, un polar efficace au cœur d’une nature déchaînée.
Ian Manook nous raconte l’histoire incroyable mais 100% vraie de la traque du « trappeur fou de la Rat River » dans le grand nord Canadien, en 1932… Quand la furie des hommes défiait celle de la nature.
Fin observateur de notre époque, Giuliano da Empoli s’intéresse une nouvelle fois aux acteurs du désordre mondial : ici les seigneurs de la Tech et leur affidés politiques trumpistes ouvrant d’une ère de violence sans limites.